Skye Lunez

« Si j'ai les couille de t'insulter j'suis incapable de dire je t'aime »
Mon caractère est bien trop complexe pour pouvoir me décrire, mais je vais essayer quand même. Je suis ce qu'on pourrait appeler garçon manqué, je ne suis pas la petite fille fragile et naïve qu'on à envie de protéger. Au contraire, il parait que j'ai un caractère dit fort, je suis une fille indépendante et qui n'a besoin de l'aide de personne. Je déteste sa, qu'on veuille me protéger, je suis assez grande pour me débrouiller seul, je l'ai toujours fais et je ne vois pas pourquoi sa changerait. Je suis aussi débrouillarde, j'ai appris à me débrouiller depuis toujours. En parlant de mon passé, on pourrait dire que c'est lui qui a forgé mon caractère pas toujours facile. Lunatique, capricieuse, vicieuse, machiavélique, calculatrice, manipulatrice, rancunière, froide, distante, cassante. Voilà comment je me serais décrite dans le passé. Je suis toujours un peu trop lunatique, capricieuse et calculatrice voir même un peu manipulatrice par moment et ces défauts changeront sûrement jamais, je garde mes anciens traits de caractère malheureusement, et sa ne changera jamais je pense, mais je n'ai pas que des défauts, si si je vous jure. Un peu aussi menteuse sur les bords, j'ai aussi tendance a gardé mes mauvaises habitudes et foncer tête baissée dans le tas, j'agis souvent sans réfléchir et sans penser aux conséquences futures, je suis très impulsive et je me fie toujours à mon instinct, lui ne m'a jamais trahit. Je suis aussi beaucoup trop fière et arrogante, l'échec ne fait pas partie de mon vocabulaire, et je suis capable de tous pour arriver à mes fins. Mais mon pire défaut est la violence, je n'hésite pas à l'utiliser pour arriver à mes fins, pour n'importe quels raisons. Mais malgré ces nombreux défauts, je suis une fille sur qui on peut compter et je n'aime pas décevoir les autres, je fais toujours mon possible, quitte à y laisser ma vie, pour mes amis proches, mais il faut réussir a percé ma carapace, ce qui est mission impossible pour l'instant. J'ai tendance a toujours utiliser la force pour régler les conflits, je ne connais pas la diplomatie. J'éprouve énormément de peine à faire confiance aux autres, mais une fois ma confiance accordée, c'est pour toujours, je suis terriblement méfiante envers les inconnus et froide. Je n'ai jamais connu l'amour, ou si peu souvent, que je ne connais pas les remords ni aucun autres sentiments. Les aventures d'une nuit ne me dérange pas, mais je n'ai jamais eus une relation qui dure plus d'une semaine, je n'ai jamais éprouvé d'amour sincère pour une personne, oh si une fois mais je ne suis pas prête à commettre la même erreur deux fois.

« Je suis marquée comme le par-choc d'une auto-tamponneuse »
Tout a commencé il y à longtemps, quinze ans pour être précis, un certain dix juillet. Dans un petit hôpital de campagne, une blondâsse à mit au monde une petite fille, cette fille c'était moi. Ma mère avait quinze ans quand elle m'a eut, et mon père était un salaud qui l'avait manipulé et qui l'avait quitté après l'avoir mise enceinte, il n'était pas prêt a être père. Ma mère c'était faites mise la porte par ces parents, et elle vivait avec sa grand-mère. Elle avait abandonné les cours pour prendre un petite place de serveuse dans un petit bar minable. Je voyais plus souvent mon arrière-grand-mère que ma mère et je demandais sans cesse ou était mon père, jamais de réponse. Pendant l'été de mes quatre ans, enfin je ne les avait pas encore eut, ma mère se prit une balle en plein coeur, elle était morte sur le coup. Quant à mon arrière-grand mère, elle était décédée une année plus tôt d'un cancer. La seul solution était de m'envoyer chez mon père, ou dans un foyer. Mais mon géniteur était en prison, alors je fus envoyée dans un foyer. J'étais encore une petite fille à cet âge là, innocente et pur. Je me rappel que dès le premier jour d'école, je me suis faite rapidement des amis. Je m'entendais aussi très bien avec deux garçons qui avaient deux ans de plus que moi. Je commença a grandir et a traîné dehors, les bêtises commencèrent. Je devais avoir neuf ou dix ans quand je commença à fumer, pour l'instant je m'en tenais au cigarette, mais après ce fût au tour des beddos d'arriver dans ma vie. Un jour, la directrice de mon foyer m'a appelé dans son bureau, un homme était là. Je devais avoir treize ans et j'étais totalement défoncée, je tenais à peine debout. La directrice me fit m'asseoir, et elle me présenta l'homme comme mon père. Je n'avais rien à lui dire, je voulais juste retourner voir mes potes et fumer, zoner, faire des bêtises. La directrice me demanda si je voulais aller le rejoindre, quitter le foyer, j'en n'avais rien à faire, il ne c'était jamais occupé de moi, alors pourquoi commencer aujourd'hui ? Je lai envoyé paître et je ne l'ai jamais revu. Je traînais toujours avec la même bande de copains, on séchait les cours et on et traînait le soir, à fumer et à se droguer. J'étais particulièrement proche d'un garçon que je connaissais depuis très longtemps, il avait deux ans de plus que moi, j'avais quatorze ans, il en avait seize. Son meilleur ami était quelqu'un d'assez violent et il il commençait a déteindre sur mon copain, il s'appelait Nat. Je l'aimais, vraiment, d'un amour sincère, la pire erreur. Je lui ai fais confiance trop facilement, on était très proche tout les deux, et je croyais que lui aussi m'aimais. Il voulait qu'on fasse l'amour, il me mettait la pression pour le faire, je l'avais déjà fait plusieurs fois, mais je voulais que ma première fois avec lui soit parfaite. Un soir, on était à une soirée bien arrosée, j'étais dans un état second, je m'étais droguée et j'avais bus comme un trou. J'étais seul avec Nat et son meilleur ami, ce jour, je m'en rappelerai toujours. On était sortit tous les deux, dans des toilettes vides, on s'embrassait, il devenait de plus en plus insistant, non je voulais pas, pas ici, pas sans protection. Il m'a mit la main sur ma bouche, pour m'empêcher de crier, il a commencé à me déshabiller, son meilleur ami est arrivé. J'étais nue, à la merci de ces deux garçons auxquels j'avais fais confiance. Nat voulait que je lui fasse une fellation, je faisais preuve d'une étonnante force pour me libérer de l'emprise de ces garçons, j'ai donné un coups de poing à Nat dans ces parties intimes, son meilleur ami c'est jeté sur moi, je ramperais à terre, essayant de m'enfuir en vain. J'ai réussir a saisir le couteaux papillon que j'avais toujours dans mon sac, je l'ai planté dans le ventre de Nat et de son meilleur ami, je les ai poignardé à plusieurs reprise. J'étais comme plus maître de moi-même, après sa je me suis enfuie. Les deux garçons sont tombés dans le coma, et trois mois après ils sont mort. Après sa j'étais changée, j'étais devenue amer et terriblement cynique, sans coeur. J'ai fais la connaissance d'autre personne, et c'est comme sa que je suis rentrée dans un gang. Je vous passe le nombre d'heure passée en cellule de dégrisement et autre fugue. Avec mon gang, j'ai commencé les conneries plus grande, d'abord un petit braquage à main armé, ensuite j'ai commencé à dealer, à boire, à sombrer. C'était mon quotidien, j'ai abandonné l'école pour zoner, j'ai passé de nombreuses fois devant le juge. Je n'ai jamais tué personne, à part ces deux salauds, j'ai toujours refusé de le faire. Un jour j'ai rencontré le petit frère de Nat, c'était son portrait craché, il faisait partit du gang adverse et il avait mon âge. Je ne sais plus pourquoi, on m'a demandé de l'envoyer à l'hôpital pour un certain temps, je lui ai tiré une balle dans le ventre, et une dans le genou. Mais son meilleur ami était embusqué derrière le coin de la rue et il m'a prit par derrière. Je me suis prise trois balles, une dans la main, une dans le ventre et un autre dans l'épaule. J'ai passé plusieurs semaines dans le coma et je garde toujours la marque des balles en moi, surtout celle de la main qu'on n'a pût retirer. Après sa, le juge m'a posé un ultimatum: Soit la prison pour mineur soit Dream-Stable.